Il y a eu la grossesse et l’accouchement. Puis, il y a eu le jour d’après.

À travers cette proposition en solo, Nawel Bounar tente de retranscrire les sensations qui ont marqué son premier jour de matrescence. Prisonnière d’un corps qu’elle ne connaît pas et ne maîtrise plus, mais qui pourtant, la fascine, elle tente de raconter l’invisible. À la fois plus ancrée que jamais et complètement déstabilisée, elle s’offre une méditation brutale et pleine d’amour, fait le deuil du passé et part à la découverte d’elle-même. A-t-elle retrouvé sa virtuosité ? L’avait-elle même perdue ? Qu’a-t-elle gagné en échange ?